mercredi 30 avril 2008

Notre carnet de plongée du TDM

15) 2 mai 2008, 8 h - Polynésie française, Fakarava, passe de Garuae (nord)
Paramètres : 32,6 mètres ; 42 minutes ; eau à 28 degrés - pas de lestage
Club Tepa Nui
Trois plongées en une !
Un courant démentiel qui nous rappelle les plus forts des Maldives.
Après une descente dans le bleu, où on croise un dauphin qui nous fausse vite compagnie pour remonter vers la surface, on s'accroche au fond, et on assiste au défilé des requins. Etonnament, ils n'évoluent pas au milieu de la passe mais frôlent le récif et se rapprochent de nous. A priori, c'est qu'il y aurait un très gros dans le coin, marteau ou tigre, et que les gris chercheraient protection... auprès de nous !
Au bout de 8 - 10 minutes, on lache prise et on part pour la deuxième séquence de la plongée. On se laisse porter par le courant et... on vole !! Littéralement ! au milieu de formations coraliennes qui forment un canyon. Vraie sensation de chute libre à l'horizontale. On se guide en inclinant légèrement les mains ou les palmes. Grisant.
3ème partie de plongée : l'aquarium. Jardin de corail, de la vie dans tous les sens. Magnifique !Petite anecdote médisante mais tellement drôle : Notre président de club d'une ville très chic de la Côte d'azur, qui a tout vu et connait tout, fait preuve de ses talents.
Au cours de notre séquence "je vole dans le canyon", il négocie mal un virage et s'écrase comme une grosse olothurie sur un pan entier de corail. Scène de dessin animé. Il a du mal à s'en dépétrer, plaqué par le courant. Boris hésite à intervenir. Finalement, il s'en sort en arrachant une grosse tête de corail. La grande classe ! On n'ose pas imaginer les dégâts s'il avait été en shorty, comme les autres ;-) En fin de plongée, peut-être encore ému par ses mésaventures, il ne tient pas le pallier, crève la surface, et perd son masque !


14) 1er mai 2008, 12 h 15 - Polynésie française, Fakarava, passe sud, Tetamanu
Paramètres : 28,5 mètres ; 52 minutes ; eau à 28 degrés - pas de lestage
Club Tepa Nui ; sortie à la journée
Moins de requins, même si toujours quelques gris à se mettre sous la dent ; on en a toujours au moins un en vue tout au long de la plongée.
Beaucoup de vie, beaucoup de poissons. Très beau platier.
Des bancs de priapanthes (gros yeux) d'une densité et d'une longueur impressionnante. L'un d'eux forme un arc de cercle autour de nous.
Raie aigle très ventrue.
Des petits poissons adorables, tout ronds, avec des cercles de couleur orange et blanc, que Cécile aime bien ; elle leur trouve un air 70's...
Plongée facile, comme celle du matin, même si on a beaucoup dérivé du fait du courant.


13) 1er mai 2008, 10 h - Polynésie française, Fakarava, passe sud, Tetamanu
Paramètres : 29 mètres ; 48 minutes ; eau à 28 degrés - pas de lestage
Club Tepa Nui ; sortie à la journée
Dérivante. Courant rentrant dans la passe.
Du gris, du gris, du gris ! Mur de gris. Jamais vu autant.
Un requin de bordée, dit aussi museau pointu (carcharemus limbatus) : profil effilé, gueule allongée, et surtout, strié sur les côtés. Jamais entendu parler auparavant.
Jamais plongé avec autant de requins...


12) 28 avril 2008, 14 h - Polynésie française, Rangiroa, passe de Tiputa
Paramètres : 28,2 mètres ; 69 minutes ; eau à 27 degrés
Raie Manta Club
L'eau est pure et violette.
Dès la mise à l'eau, des petits requins gris remontent à toute allure vers la surface pour venir à notre rencontre et après nous avoir observés (le monde à l'envers...) repartent aussitôt.
On scrute le bleu à la recherche des mantas... et deux grand dauphins surgissent de nulle part ! Magnifiques ! Plus de 3 m : l'un des deux se dirige droit sur nous avant de piquer vers la surface. On le perd pour trouver des mantas. On continue notre quête dans le bleu sans trop de succès. Des poissons de toutes sortes, un napoléon, des carangues tellement argentées qu'on les dirait vêtues de lamé.
Après 35 - 40 minutes de plonge, on se dirige vers le platier, à moins de 5 m de profondeur. Et là, c'est le défilé de mantas ! Plus d'une vingtaine !! Le courant est fort et les mantas ont bizarement l'air de le subir. On s'accroche aux rochers et elles nous frôlent en volant ! Dans 5 m d'eau, elles nous frôlent vraiment !
Des poissons dans tous les sens ; trois tortues dont une la tête dans les coraux, on ne voit que son ventre et ses pattes qui s'agitent, elle se fait balloter dans tous les sens par le courant ; un barracuda énorme au milieu d'un banc de pavillons d'une incroyable densité. On remonte quand on n'a plus d'air. Dingue !!


11) 27 avril 2008, 14 h - Polynésie française, Rangiroa, passe de Tiputa
(Boris)
Paramètres : 21,7 m ; 64 minutes
Raie Manta Club
Courant sortant, plongée sur le côté droit à la sortie de la passe.
Dès la mise à l'eau, les gris montent du fond pour venir nous voir. Nous sommes dans le bleu complet, entourés de 6 - 7 requins. Ils repartent, déçus.
Un dauphin vient alors nous voir, belle bête de 3,5 m. Cécile, t'es où ?? Il reste à côté de nous quelques minutes, imperturbable, puis s'en retourne dans le bleu, magnifique... Pour finir, quelques mantas viennent agrémenter la fin de plongée. Et oui, au bout de 40 minutes, les gros polonais doivent remonter, ils ont vidé leurs bouteilles... Pas moi.


10) 27 avril 2008, 8 h - Polynésie française, Rangiroa, passe de Tiputa
Paramètres : 16,5 m ; 60 minutes ; eau à 26 degrés - Lestage 0 kg
Raie Manta Club
Courant sortant, plongée sur le côté gauche à la sortie de la passe.
Visi pas terrrible, eau très chargée.
Raies mantas non stop ! Quelques pointes blanches de lagon.


9) 23 avril 2008, 8 h - Polynésie française, Moorea, site du “Tiki”
Club Scubapiti dans l’hôtel des Tipaniers
Paramètres : 25,4 m ; 51 minutes ; 27 degrés
Lestage 2 kg
Requins gris a foison, dès la mise a l’eau et jusqu’au palier de sécu.
Pointes noires de récif en plus petit nombre.
Requins très curieux ; ils s’approchent très près et nous tournent autour, on peut bien les observer.
Quelques remoras sur les gris et des labres nettoyeurs.
Un gris avec un piercing (il s’est pris l’hameçon d’un pêcheur…)


8) 15 avril 2008, 8 heures 30 - Ile de Paques, Chili - site des Motus
Paramètres : 29 mètres ; 44 minutes - eau à 23 degrés
Club Orca
Pureté et tranparence de l'eau inouies, tellement bleue qu'elle en devient violette. Pureté car pas de plancton, pas de plancton donc pas beaucoup de vie.
Aucune notion de la profondeur.
On regarde les vagues à la surface qui font comme des nuages.
Un peu de courant et de houle.



7) 5 février 2008, 8 heures 30 - Galapagos, Equateur - Ile de San Cristobal, Leon Dormido
Paramètres : 20 mètres ; 51 minutes - eau à 23 degrés



6) 5 février 2008, 8 heures 30 - Galapagos, Equateur - Ile de San Cristobal, Leon Dormido
Paramètres : 20,2 mètres ; 53 minutes - eau à 23 degrés
La plongée magique ! On voit tout ! Des requins à foison, partout où se pose le regard. A tel point qu'on ne prend plus la peine que de se signaler les marteaux les plus gros... Des bancs de barracudas, une raie manta (la surprise !) et des raies aigles, des tortues, des lions de mer... enfin bref, tout !!!
En remontant à la surface, un peu hystériques, Cécile n'a qu'à dire "Il ne manque plus que les dauphins !" pour qu'un groupe d'une trentaine de dauphins se rapproche du bateau. Incroyable !!

5) 31 janvier 2008, 13 heures - Galapagos, Equateur - Ile de Floreana
Paramètres : 20,2 mètres ; 55 minutes - eau à 23 degrés
Jeu avec les lions de mer ; on se perd avec Pablo l'italien



4) 31 janvier 2008, 9 heures 30 - Galapagos, Equateur - Ile de Floreana,
Paramètres : 21,7 mètres ; 61 minutes - eau à 20 degrés
2 marteaux ; requin dormeur dans sa grotte qu'on réveille...
Raies pastenagues.
On retrouve nos copains los lobos maritimos, on fait connaissance avec le batfish, on admire... des nudibranches, hé oui !, et on se perd au milieu des bancs de poissons énormes et d'une densité extrême.


3) 30 janvier 2008, 13 heures - Galapagos, Equateur - Ile de Santa Cruz, Gordon rock
Paramètres : 20,6 mètres ; 50 minutes - eau à 21 degrés


2) 30 janvier 2008, 9 heures - Galapagos, Equateur - Ile de Santa Cruz, Gordon rock
Paramètres : 16,2 mètres ; 52 minutes - eau à 17 degrés
Arcs de rochers qui tombent à pic, avec une passe à 20 m.
Pas mal de courant, visi un peu trouble, mais on voit ce qu'on attendait tant : des requins, des marteaux, et surtout, surtout, Cécile découvre la plongée avec les lions de mer qui dansent autour de nous.


1) 19 decembre 2008, 15 heures - Peninsula Valdes, Argentine
(Boris)
Paramètres : 4 mètres ; 50 minutes
Lions, lions, lions ! Premiers lions de mer de Boris en plongée ; il se pose au fond de l'eau et les lions approchent et jouent avec lui. L'un d'eux va jusqu'à se poster devant lui et à souffler des bulles par mimétisme.

vendredi 25 avril 2008

Les Tuamotu : de Tikehau a Fakarava, en passant par Rangiroa


Prise de vue aérienne en arrivant sur les atolls. Juste l'envie de se jeter à l'eau.
En dessous, c'est Rangiroa, tellement connu des plongeurs !



Avant, on était passé par Tikehau.
Tous les clichés de la Polynésie sont réunis sur cet atoll où vivent seulement 500 habitants, au milieu des cocotiers, d'un lagon transparent et de plages de sable blanc.







Sur ce genre d'île, tout dépend du ravitaillement assuré par les "goelettes", petits cargos qui partent de Tahiti et font une tournée des îles éloignées. A Papeete, on a d'ailleurs essayé de profiter de ces cargos pour voyager d'île en île, mais on n'avait pas assez de temps ;-), et, surtout, ils ne partaient pas en même temps que nous....
Tout le monde s'y préparait à accueillir la grande compétition annuelle de pirogues à balanciers, qui relie plusieurs atolls. On a d'ailleurs vu sur toutes les îles des gens s'entrainer pour la compet'. C'est un des rares moments d'action, où le temps et les gens semblent s'accelérer un peu.


A Rangi, les galets remplacent le sable blanc (là devant notre bungalow), et c'est toujours aussi beau !

Notre programme, c'est avant tout de plonger, et notamment dans la si fameuse passe de Tiputa.





En raccourci, quand nous sommes arrivés, le courant venait de s'inverser. Après des jours de courant rentrant qui avait rempli le lagon, on se trouvait face a un courant sortant plutôt violent (qui nous empêchait de faire des plongées dérivantes) et très chargé en plancton. Du coup, on a pu participer à chaque plongée a un festival de mantas.

Et aussi, on a vu nos premiers dauphins (l'espèce des Grands dauphins, entre 3 et 4 m) SOUS l'eau, et, sur l'eau, ils surfaient dans les vagues de la passe !!

Un dernier petit snorkeling pour la route, deux heures avant de prendre l'avion pour Fakarava.
On traverse les bulles des plongeurs que nous suivons, qui strient le grand bleu avant de crever en surface.
















Entre deux plongées on est parti en excursion pour une journée sur l'île aux recifs, à l'autre bout de l'atoll. Etranges formations coraliennes, les feo, qui sont sorties de l'eau du fait des mouvements géologiques de ces volcans immergés.

































Décidément, maintenant qu'elle sait nager, on n'arrive pas à la faire sortir de l'eau cette bougie globe !









A table !





A Fakarava, on enchaine sur d'autres plongées éblouissantes.
Sur la passe sud tout d'abord, où on part à la journee. Les sorties y sont peu fréquentes et on a la chance d'arriver au bon moment. Cette passe est connue pour son mur de requin gris et elle n'a pas failli à sa réputation. Une centaine de requins gris sur la même plongée !


Et sur la passe nord enfin, la passe de Garuae, où a lieu notre derniere plongée polynésienne.

Voici le brief :


En fait, on a droit à trois plongées en une !
Un courant démentiel nous rappelle les plus forts des Maldives.
Après une descente dans le bleu, où on croise un dauphin qui nous fausse vite compagnie pour remonter vers la surface, on s'accroche au fond, et on assiste au défilé des requins. Etonnament, ils n'évoluent pas au milieu de la passe mais frôlent le récif et se rapprochent de nous. A priori, c'est qu'il y aurait un très gros dans le coin, marteau ou tigre, et que les gris chercheraient protection... auprès de nous !
Au bout de 8 - 10 minutes, on lache prise et on part pour la deuxième séquence de la plongée. On se laisse porter par le courant et... on vole !! Littéralement ! au milieu des formations coraliennes qui forment un canyon. Vraie sensation de chute libre à l'horizontale. On se guide en inclinant légèrement les mains ou les palmes. Grisant.
3ème partie de plongée : l'aquarium. Jardin de corail, de la vie dans tous les sens. Magnifique !

Petite anecdote de palanquée : le président d'un club de plongée d'une ville très chic de la Côte d'azur, qui est sur notre bateau depuis deux jours, qui a tout vu et connait tout, fait preuve de ses talents. Au cours de notre séquence "je vole dans le canyon", il négocie mal un virage et s'écrase comme une grosse olothurie sur un pan entier de corail. Scène de dessin animé. Il a du mal à s'en dépétrer, plaqué par le courant. Boris hésite à intervenir. Finalement, il s'en sort en arrachant une grosse tête de corail. La grande classe ! On n'ose pas imaginer les dégâts s'il avait été en shorty, comme les autres ;-) En fin de plongée, peut-être encore ému par ses mésaventures, il ne tient pas le pallier, crève la surface, et perd son masque !

Bye bye les lagons, on s'en retourne sur Papeete où nous attend l'avion qui doit nous emmener vers la Nouvelle-Zelande. Ile polynésienne d'un tout autre genre.

Cécile a aimé : les petits chiots pitbulls, qui sont très à la mode sur les îles. Ca devrait être sympa dans quelques annêes ! A l'aéroport, au moment du départ, on assistait encore à la livraison de deux pitbulls adultes en cage.

lundi 21 avril 2008

Moorea, une des îles du vent


Avec Tahiti, Moorea est la seule île haute que nous visiterons. Elle culmine à 1.020 m !
Il s'agit d'une île plus récente, dont le volcan, contrairement aux atolls, ne s'est pas encore complètement affaissé en ne laissant que la barrière de corail comme support terrestre.

Nous nous installons pour 4 jours dans un petit camping (rares en Polynésie !) au bord de l'eau, afin de profiter pleinement de ces vacances dans notre voyage.





L'eau est à plus de 28 degrés, turquoise ou verte, limpide, le sable blanc ; on se fond dans cette carte postale.


Au programme : ballade en kayaks de mer, plongée, tour de l'île en scoot', plage...













Au cours de notre plongée, on croise des requins gris a foison, dès la mise à l’eau et jusqu’au palier de sécu, et des pointes noires en plus petit nombre. Requins très curieux ; ils s’approchent très près et nous tournent autour, on peut bien les observer. Quelques remoras sur les gris et des labres nettoyeurs. Un gris avec un piercing (il s’est pris l’hameçon d’un pêcheur…).
Et la bougie globe fait son baptême...



...encouragée par un p'tit gris !


Lors de notre tour de l'île, nous visitons le lycée agricole avec ses plantations d'ananas, ses pamplemoussiers, autres arbres fruitiers et fleurs tropicales.














Depuis le belvédère, vue sur la baie d'Opunohu, celle qui cotoye la baie de Cook :


jeudi 17 avril 2008

Quand on rentre en France !

Arrivée en pleine nuit sur le sol français.

On retrouve le bleu ciel des chemisettes de nos douaniers et le jaune des boites aux lettres de La Poste, mais le tout par 35 degrés et sous les cocotiers. Bienvenue à Tahiti !



Isabelle, Fred et leurs filles, Lucie et Charlotte, y sont installés depuis juillet et nous reçoivent super bien.

Première approche de la Polynésie française avec eux.


On "squatte" chez eux le temps de préparer la suite de notre périple.

La Polynésie n'est vraiment pas une destination pour routard. Ce n'est pas un scoop, mais on est stupéfait de voir à quel point tout est hors de prix ! Et le franc pacifique étant indexé sur l'euro, pour la première fois on ne bénéficie pas de l'euro fort ! Le budget d'une journée en Polynésie équivaut à celui d'une semaine en Bolivie.
Les calculs doivent être faits au plus juste. Notre priorité étant d'aller voir ce qui vit sous cette eau turquoise, on décide d'aller passer quelques jours sur Moorea, la petite soeur de Tahiti, et de filer ensuite directement sur les atolls des Tuamotu, considérés comme faisant partie des plus beaux spots de plongée dans le monde.

dimanche 13 avril 2008

Rapa Nui... l'île de Paques



Officiellement chilienne, l'île de Pâques nous projette directement dans le monde polynésien.






C'est un vrai tournant dans notre périple. Jusqu'à présent, notre tour du monde empruntait exclusivement les routes sud-américaines et on avait du mal à s'imaginer, au cours du même voyage, découvrir d'autres univers, d'autres cultures. C'est chose faite !









Selon la théorie aujourd'hui la plus communément admise par les historiens, les premiers habitants de Rapa Nui débarquaient de Polynésie sur leurs pirogues à balanciers.
Ils ont développé une mythologie originale, en sculptant, dans une carrière située au milieu de l'île, des statues sacrées représentant leurs ancêtres et installées sur des ahu, plateformes cérémoniales, tournés vers la tribu qu'ils protégeaient.






Ce sont les fameux Moais !



Les habitants de Rapa Nui ont bientôt été pris d'une frénésie de scuplture de Moais ! C'était à la tribu qui en construirait le plus grand nombre, le plus grand en taille, le plus beau... jusqu'à en délaisser leurs activités plus quotidiennes. Ceci entrainait la raréfaction des ressources pour faire les Moais et des guerres pour prendre le contrôle de la carrière. Rien de bien neuf, quoi !




Plusieurs théories s'affrontent sur le point de savoir comment ces énormes blocs taillés dans la pierre ont pu être déplacés à travers l'île.







Des Moais, on en croise partout et dans tous les états.



Moai bourré








Moais à la plage :





La plus grande bande de Moais du Pacifique









Moai au piercing, celui qui a lancé la tendance ; depuis, toute l'île s'arrache le diams "bougie globe" !






A quoi songe le Moi ?




Moais rebelles, les seuls tournés vers le Pacifique :




Moais endimanchés :



Moai de Cécile :





Moais abandonnés dans leur carrière (une infime partie des Moais sont arrivés à destination, du fait essentiellement des luttes tribales) :


Moais boudeurs











Sunset de Moais









A part les Moais, on voit aussi des chevaux sauvages, partout, en toute liberté, se promener dans l'île.











Et nous, on randonne (sous la pluie), on loue un scooter pour sillonner l'île...











... et on plonge !



Plongée peu riche en faune car très faible concentration de plancton, mais du coup, une luminosité et des eaux tellement pures qu'elles en deviennent violettes ! Jamais vu ça !
(pour nos amis les plongeurs -et pour les autres- vous pouvez aller consulter notre post "carnet de plongée", à créer ;-))


Orongo, site (au bord du cratère de l'un des trois volcans de l'île) consacré après que les Moais aient été abandonnés au profit du culte de l'homme-oiseau.





Chaque année à la même époque, une compétition opposait les jeunes hommes de chaque tribu ; le vainqueur devenait chef de l'année. Il lui fallait être le premier à atteindre à la nage les motu (petites îles) situées à proximité du site et à en rapporter l'oeuf d'un oiseau qui venait y pondre au printemps.



(ce sont les aussi les îles où nous sommes allés plonger)